Indépendant - Plombiers à Lille
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Comme tout métier, être plombier exige des qualités et des compétences spécifiques. C'est un travail nécessitant des aptitudes particulières sur le plan intellectuel, mais également et surtout dans le domaine physique.
Les qualités de base que doit posséder un plombier
Devenir plombier n'est pas à la portée de tous. Avant même de suivre des formations sur ce métier, la personne désirant le pratiquer doit d'abord s'en sentir capable. Il faut avant tout avoir la passion pour le bricolage et la construction. En effet, c'est un travail assez dur qui peut rapidement décourager ceux qui s'y aventurent. Il consiste à installer de nouveaux équipements de plomberie, à les réparer ou à les entretenir. Ensuite, avoir une bonne condition physique est aussi indispensable, car le plombier doit effectuer des travaux de manutention, de fixation et de déplacement de ses matériels ainsi que des matériaux nécessaires à la réalisation de son travail. Il peut aussi être confronté à des situations peu pratiques et dangereuses, comme l'escalade de mur et tant d'autres.
Les qualités intellectuelles
Contrairement à ce que l'on pense, le plombier doit aussi avoir une grande faculté intellectuelle, car non seulement il doit étudier et élaborer un plan, mais il doit aussi être capable de lire et de discerner des plans déjà établis par les architectes ou autres acteurs du bâtiment. Il doit, par exemple, savoir exactement où creuser pour éviter de perforer des fils électriques ou d'autres tuyauteries. Le plombier doit ainsi être polyvalent. Il doit avoir des notions sur tout ce qui concerne le bâtiment. Il est aussi utile qu'il ait une grande capacité d'analyse, car il a pour charge de déceler d'éventuelles pannes ou imperfections en analysant les données qu'il reçoit de son client, pour ensuite y remédier. Il a aussi le devoir d'élaborer des devis. Il existe plusieurs formations pour exercer le métier de plombier et qui amènent à l'obtention du CCP, du CAP ou du CFA.
Le métier de plombier est un métier sans cesse en évolution. Il faut dire que le salaire que gagne cet ouvrier qualifié du second œuvre devient de plus en plus attractif grâce à l'expérience qu'il acquiert au fil des années.
Le salaire mensuel moyen d'un plombier
À sa sortie de l'école, un plombier débutant est payé au SMIC. En effet, il perçoit aux alentours de 1 200 € net durant les premiers mois. Ce salaire mensuel moyen est réservé aux plombiers travaillant pour une entreprise de plomberie avec un statut de salarié. Certains d'entre eux ont toutefois la chance de pouvoir travailler à leur propre compte. Ils disposent de moyens suffisants pour ouvrir leur propre société. Un plombier indépendant qui débute dans le métier gagne 1 000 € de plus par mois, soit environ 2 200 € net. Pour un plombier confirmé, il faut compter entre 2 600 et 3 200 € net le salaire mensuel moyen. Tout dépend de ses années d'expérience et , bien sûr, de son statut. À noter effectivement que le plombier travaillant pour son compte a toujours la possibilité de gagner plus.
La méthode de calcul appliquée
Pour arriver à cette fourchette d'estimation, il faut partir du salaire annuel de base d'un plombier, qu'il soit débutant ou confirmé. Cette information est publiée chaque année par des centres de gestion agréés et des organismes professionnels. Ces derniers prennent en compte une partie des déclarations fiscales des plombiers au cours de l'année précédente. En ce qui concerne les plombiers indépendants, il faut se baser sur un critère supplémentaire : celui des bénéfices obtenus par les résultats courants de l'entreprise. Cela implique les résultats enregistrés avant la déduction de l'impôt sur le revenu. Travailler pour son compte permet donc à un plombier de gagner davantage, mais avec tous les risques que cela pourrait entraîner en cas de faillite ou en temps de crise.
À n'importe quel moment, l'on peut avoir à recourir aux services d'un plombier, pour de nouvelles installations, des réparations ou tout simplement pour un entretien. Ainsi, on est confronté au dur devoir de trouver un bon plombier qui pourrait nous satisfaire.
Les bons réflexes
On peut avoir une petite idée des qualités d'un artisan en général à sa première vue. En effet, ce genre de métier, surtout la plomberie, nécessite de grands efforts physiques. Il est donc primordial que le plombier présente une bonne forme physique. Ensuite, on doit aussi l'évaluer sur son niveau intellectuel, car mis à part le domaine sus-cité, le plombier doit aussi être capable d'analyser rapidement chaque situation et de déduire des solutions pertinentes. Autrement, il faut également axer son choix sur le statut du travailleur, s'il est indépendant ou s'il appartient à une organisation ou à une société.
Ses compétences et ses formations
Avant tout, un bon plombier doit être certifié. Il doit avoir suivi un minimum de formations. Il doit donc au moins posséder la CAP, l'équivalent de deux années de formations. Il doit également avoir des expériences réussies dans le domaine. L'astuce est d'engager un plombier qui bénéficie de plusieurs années d'expérience à son actif, après l'obtention de son certificat. Choisir un bon plombier revient aussi à comparer les tarifs. C'est sur ce point qu'il faut être très vigilant, car les devis et les montants proposés par les prestataires sont souvent sujets à l'arnaque. Un bon plombier professionnel doit alors avoir une grille tarifaire qu'il communiquera à son client, avant le début de ses travaux. Cependant, les prix proposés ne peuvent justifier exactement la qualité de l'artisan. Il faut donc systématiquement penser à se renseigner sur ses travaux et ses réalisations. Un bon plombier doit toujours avoir une bonne réputation.
Voici comment devenir plombier avec ou sans formation.
Le métier de plombier vous intéresse ? Voici la marche à suivre et les formations si vous voulez en faire votre activité professionnelle, voir même créer votre entreprise de plomberie.
Sachez que le diplôme de plombier, soit "installateur en thermique et sanitaire" équivaut également à :
- Monteur en installations thermiques
- Monteur en plomberie chauffage
- Monteur en équipements techniques du bâtiment
- Plombier chauffagiste
- Plombier sanitaire
- Ouvrier professionnel niveau II en installation thermique et sanitaire.
Cette formation est accessible en fin de 1er cycle des collèges de l'enseignement secondaire.
La profession
L'installateur en thermique et sanitaire réalise des installations de chauffage central et de sanitaire. Les travaux qui lui sont confiés concernent aussi bien des installations neuves, dans des immeubles neufs ou anciens, que la modification d'installations existantes. Il prépare, assemble, fixe et pose tous les éléments nécessaires à la mise en place d'un dispositif de chauffage central, d'un équipement sanitaire, d'une installation de production et de distribution d'eau chaude sanitaire, d'une ventilation mécanique contrôlée (VMC) individuelle. Il effectue le raccordement, le réglage et la mise en service de ces dispositifs. Il procède également aux réparations éventuelles de divers éléments défectueux. Dans tous les cas, il applique les règles professionnelles et réglementaires (gaz, électricité...). Lorsque le dépannage à réaliser porte sur les appareils de production de chaleur (chaudière, chauffe-bain...), il est confié à un spécialiste.
Les conditions habituelles de travail :
L'installateur en thermique et sanitaire travaille essentiellement sous abris, dans des locaux clos et couverts. Il exerce presque exclusivement sur chantier, où il intervient fréquemment en même temps que d'autres professionnels que lui (électriciens, maçons, plâtriers, peintres...). Il intervient parfois dans des locaux, en présence des clients ou des occupants.
L'activité comporte des déplacements (changements fréquents de chantier), les horaires sont en général réguliers, sauf dans les opérations de dépannage qui peuvent entraîner des dépassements.
En installation neuve sur de petits chantiers, il pourra rapidement être amené à travailler seul, en complète autonomie d'exécution. Il travaillera le plus souvent à partir de consignes verbales, accompagnées de plans définissant les implantations des appareils et les diamètres des tuyauteries.
Sur des chantiers importants, l'installateur en thermique et sanitaire est encadré par un chef d'équipe qui lui confie journellement les tâches à réaliser ainsi que les matériels et matériaux nécessaires.
Il peut participer, au moment venu, à la mise en service de l'installation. C'est lorsqu'il aura acquis une certaine expérience que lui seront confiés des travaux d'entretien, de dépannage et de rénovation. En effet, dans ce cas il doit comprendre le fonctionnement de l'ensemble du système sur lequel il intervient (maîtrise des systèmes d'arrêt, d'isolement, de vidange, de remise en service...). Ce type de situation demande une analyse et un diagnostic des opérations à effectuer, ainsi que la prise en compte des contraintes existantes.
Les qualités indispensables pour devenir plombier :
- aimer le contact humain
- la facilité d’adaptation
- l’esprit d’analyse
- l’esprit d’équipe
- l’autonomie
- l’organisation
- être un homme ou une femme de terrain
- aimer les déplacements fréquents
- savoir conseiller
- être méthodique
- la rigueur
- la prise d’initiative
- la connaissance parfaite des mécanismes de la circulation des fluides
Les compétences nécessaires pour devenir plombier :
- lecture et compréhension des plans, schémas et notices techniques
- tracer les emplacements des appareils et le parcours des tuyauteries
- effectuer des soudures et des connexions
- assurer l’étanchéité des canalisations
- façonner la tuyauterie
- vérifier le bon fonctionnement
- savoir coordonner son intervention avec celle d’autres corps d’état
- appliquer les normes de sécurité et de conformité
- avoir au minimum le permis B
Les inconvénients du métier :
- des postures inconfortables
- des charges lourdes à transporter
- la disponibilité : quasiment 24h/24 et 7j/7
- travailler dans l’urgence
Etudes et formations pour devenir plombier :
- BAC pro énergétique
- CAP installateur sanitaire
- BEP technique des installations sanitaires et thermiques
- BP équipement sanitaire
- BP métiers de la piscine
- BM plombier sanitaire
- BMS bâtiment
- BTS fluides énergies environnement option génie sanitaire
- MC zinguerie
Dans le secteur public, ce métier est accessible par concours.
L’ANPE propose également une formation complète.
Contenu de la formation ANPE
La formation se compose de 3 modules qualifiants, de 2 Périodes en Entreprise (PE), d'une session de validation et d'un module complémentaire de spécialisation :
Accueil et découverte de la formation (2 semaines).
>Module 1 : Réaliser des éléments d'installations de chauffage et de sanitaire :
Assemblage et équipement des émetteurs de chaleur - Equipement d'appareils sanitaires - Pose d'appareils de chauffage et de sanitaire et des supports de tuyauteries - Réalisation d'éléments de tuyauterie cuivre - Pose et raccordement aux appareils des éléments de tuyauterie cuivre - Façonnage et pose de tuyauterie acier assemblés par raccords filetés - Assemblage à l'établi par soudage oxyacéthylénique (acier noir) - Installation d'un réseau d'eaux vannes et d'eaux usées en PVC - Engravement de tuyauteries - Pose en incorporation des réseaux hydro câblés en PER ou cuivre recuit. (16 semaines)
1ère Période en entreprise (PE) (2 semaines).
Module 2 : Réaliser des installations collectives neuves de chauffage et de sanitaire :
Traçage sur les parois du parcours, des canalisations et des points de fixation des équipements - Réalisation d'un croquis d'exécution - Installation d'un collecteur d'eaux usées ou d'eaux vannes en fonte SMU - Assemblage par soudo-brasage sur acier galvanisé. (8 semaines)
2ème Période en entreprise (PE) (2 semaines).
Module 3 : Réaliser des installations individuelles neuves de chauffage et sanitaire :
Alimentation en gaz d'une installation d'habitation individuelle - Alimentation en fioul du brûleur d'une chaudière de chauffage central d'une habitation individuelle - Raccord des appareils de production d'une habitation individuelle au conduit d'évacuation des gaz brûlés - Raccord, électriquement, des divers équipements électriques de chauffage, de sanitaire et de VMC d'une habitation individuelle - Mise en service d'une installation individuelle de chauffage et de sanitaire - Réalisation, dans une habitation individuelle, d'une installation de VMC simple flux - Installation d'un plancher chauffant en PER pour un logement individuel - Organisation d'un chantier de chauffage, de sanitaire et de VMC d'un pavillon neuf. (10 semaines)
Session de validation (2 semaines).
CCS (réservé aux personnes ayant obtenu le titre) : Installer des systèmes de chauffage et de production d'eau chaude sanitaire utilisant les énergies renouvelables : Techniques d'installation de chauffe-eaux solaires individuels (CESI), de systèmes solaires combinés (SSC), de pompes à chaleur géothermiques (EAU / EAU) et aérothermiques (AIR / EAU) et de chaudières bois automatique de petite puissance. Etude des différents schémas d'exécution des techniques étudiées : connaissance du rôle et du positionnement des différents accessoires sur chaque type d'installation. Pratique de pose et d'intégration de capteurs solaires en toiture, en terrasse et sur mur. Pratique de raccordements et de mise en service d'installations sur les différentes techniques. Etude complète (du dimensionnement au devis) de chauffe-eaux solaires individuels (CESI). Eléments pour l'étude de systèmes solaires combinés (SSC), de pompes à chaleur géothermiques (EAU / EAU) et aérothermiques (AIR / EAU) et de chaudières bois automatique de petite puissance. Sensibilisation au développement durable et aux différentes techniques associées dans le chauffage et le sanitaire. Culture générale sur le solaire, le bois et les pompes à chaleur (6 semaines).
Les évolutions professionnelles :
Un plombier ayant acquis une expérience suffisante peut devenir :
- chef de chantier
- contremaître
- conducteur de travaux
- monteur en installation thermique
- plombier zingueur
- technicien de chantier en plomberie
Des connaissances en gestion et comptabilité sont nécessaires à ceux qui souhaitent s’installer en indépendant.
Le salaire du plombier :
Plombier est un des métiers les plus demandés du bâtiment. Sur google, les sites proposant des offres d’emploi de plombier sont nombreux. Ainsi Manpower propose près de 9500 annonces de plombier, tous secteurs d’activité confondus. Le plus : être plombier polyvalent !
Le salaire minimum d’un plombier débutant démarre à 1300 € brut par mois. Le salaire d’un indépendant peut varier en fonction des saisons, de l’activité générale, des périodes de vacances, de la zone géographique ou de la concurrence. Ainsi, ils peuvent évoluer entre 2800 € et 5000 € par mois.
Les sites à consulter :
Plombier définition, pratiques et bons conseils
Selon le dictionnaire, un plombier est un « ouvrier qui s’occupe d’installer et réparer les canalisations d’eau et de gaz ».
Certains plombiers se spécialisent dans des domaines particuliers ou complètent leur formation par une spécialisation plus pointue. Ainsi, vous pouvez rencontrer des plombiers chauffagistes, des plombiers sanitaires ou spécialisés en équipements techniques du bâtiment. D’autres se forment dans des domaines novateurs tels que les énergies renouvelables, solaires ou la géothermie.
Que vous ayez besoin d’un plombier en urgence pour une fuite, des petits travaux de dépannage en plomberie ou pour refaire vos sanitaires, vous aurez à faire soit à un artisan plombier soit à une société de services proposant différents corps de métier : serrurier, électricien, vitrier, peintre, menuisier, couvreur ou bien plombier.
Le plombier pose, répare, dépanne, règle des installations sanitaires ou de chauffage mais a également un devoir de conseil auprès de ces clients.
Pour quoi fait-on appel à un plombier ?
- pour une fuite d’eau ou de gaz
- pour des petits travaux de dépannage en plomberie
- pour refaire une installation sanitaire ( mécanisme de la chasse d’eau, robinet de lavabo, chauffe-eau…)
- pour un problème de canalisation
- pour un souci au niveau des radiateurs ou de la chaudière
- pour une panne de ballon électrique
Il est également possible de faire appel à un plombier pour une vérification des canalisations par inspection vidéo.
Le plombier monte, répare et entretien dans différents domaines :
- la couverture
- le chauffage
- la zinguerie
- le sanitaire
Le plombier Il intervient seul en tant qu'artisant indépendant ou en équipe sur un chantier. Les chantiers sont divers :
- à domicile chez des particuliers
- dans des logements collectifs
- des établissements publics ( piscine, hôpital…)
- des établissements privés
Le plombier intervient les plus couramment pour :
- fuite d’eau ( évier, lavabo, baignoire, douche, ballon électrique, tuyauterie )
- dégorgement / débouchage ( toilettes, canalisations, colonne d’évacuation )
- remplacement de robinetterie ( mitigeur, mélangeur, vanne d’arrêt )
- panne ( chauffe-eau, gaz ou électrique )
- remise en route ( brûleur, chaudière gaz ou fioul )
- réparation, installation, entretien, maintenance, réglage, SAV ( chaudière et chauffe-eau )
- détartrage ( tuyauterie, chaudière )
- recherche de fuite ( eau, gaz )
- assainissement ( colonne d’évacuation, fosse septique )
Les matériaux utilisés :
- le cuivre
- l’acier
- les matériaux de synthèse
- le PVC
Depuis quelques années, le plomb est interdit pour toutes formes de canalisations. Après des décennies d’utilisations intempestives du plomb en matière de canalisations, les autorités sanitaires se sont aperçues qu’il était néfaste pour la santé à haute dose et pouvait provoquer le saturnisme, maladie due à l’ingestion ou l’inhalation de plomb provoquant des troubles réversibles (anémie, troubles digestifs) ou irréversibles (atteinte du système nerveux).
L'eau est une ressource indispensable à la vie. C'est la raison pour laquelle il convient d'adopter les gestes adéquats pour l'économiser.
De meilleurs équipements
Opter pour certains types d'appareils électroménagers plus économiseurs en eau ou installer des dispositifs spécifiques sont quelques unes des solutions pratiques pour réduire sa consommation d'eau. Ces appareils sont équipés d'un système spécifique permettant de faire des économies d'eau sans pour autant nuire au confort de chacun. Pour le robinet, par exemple, l'on trouve sur le marché le mousseur économiseur. Il s'agit d'un petit appareil à installer sur le robinet qui réduit le débit d'eau jusqu'à 50 % et évite les fuites. L'on retrouve un autre dispositif similaire, cette fois-ci destiné à la pomme de douche. La pièce s'appelle réducteur de débit. Enfin, pour les toilettes, il est recommandé d'opter pour une chasse d'eau à deux vitesses. Ce dispositif muni de deux boutons de réglage permet de réduire à moitié, en fonction des cas, le volume d'eau versée dans la cuve.
La chasse aux fuites
Il est important de vérifier que toute la tuyauterie fonctionne idéalement. Les fuites représentent un gros gaspillage d'eau. L'intervention d'un plombier est toujours requise dans ce cas. Cela permet, entre autres, d'éviter que la maison soit inondée et de gaspiller de l'eau inutilement.
De bons réflexes
Toutes ces innovations n'auront de sens que si l'utilisateur n'adopte un certain état d'esprit. En effet, l'eau est une ressource importante, certes renouvelable, mais dont la disponibilité dépend étroitement des activités de l'Homme. Il convient ainsi de ne pas la gaspiller. Il ne suffit pas d'avoir des équipements sophistiqués, il faut aussi adopter de bons réflexes. Par exemple, il ne faut jamais laisser couler l'eau quand cela n'est plus nécessaire. La douche est préférable au bain puisque ce dernier est plus consommateur en eau. Il s'agit de petits gestes qui ne sont pas négligeables sur le long terme.
Le plombier est tenu de vous présenter une facture SEULEMENT si le montant total dépasse 15,24 euros.
Il est préférable de payer en chèque ou en carte bleue afin de laisser des traces, plus facile en cas de problème.
Voici ce que le plombier doit faire figurer sur la facture :
- Les coordonnées du client : vous
- Les coordonnées du plombier
- La date de l'intervention.
- Le nombre de pièces détachées changées et leur prix.
- Le nombre d'heure de travail effectuées.
- Les frais de déplacement (attention, ces frais ne sont pas conventionnés)
- Le prix Hors taxe et TTC.
La plomberie sanitaire est soumise à des normes préétablies. C'est une branche de la plomberie qui englobe tout ce qui est en rapport avec les équipements et appareils sanitaires, d'un côté, et les tuyauteries, de l'autre.
Les normes françaises
Bien que l'installation de la plomberie d'une habitation soit une tâche généralisée, elle est soumise à des normes et des réglementations. Le document technique unifié ou DTU fait état de ces normes. A titre d'exemple, le DTU 60.1 invite à fournir un plan relatif au lieu et aux parcours des canalisations ainsi qu'aux modifications y afférentes. Il met également l'accent sur la qualité de l'eau, sa pression, la place des robinets et beaucoup d'autres paramètres encore. Les matériaux utilisés sont précisés dans le deuxième chapitre, notamment pour les tuyaux et les raccords, les équipements sanitaires, les appareils produisant de l'eau chaude et la robinetterie. En ce qui concerne les équipements sanitaires, chaque appareil a ses propres exigences. Une baignoire de 150 litres a besoin, par exemple, pour son alimentation en eau, d'un débit de 0.33 litre par seconde. Ainsi, le diamètre des tuyaux le desservant doit être de 13mm. Le DTU est la dérivée du Code de la plomberie édité dans les années trente. Cependant, les normes devant faire face au changement et à l'évolution constante des matériaux, des matériels et même de la technologie, le DTU propose une synthèse des normes actuelles et des nouvelles. De nouveaux DTU devraient être disponibles dans le courant 2012. Ils seront conformes aux nouvelles normes européennes concernant la distribution et l'évacuation des eaux. Toutefois, les normes DTU 60.1 concernant les plans et les devis descriptifs sont toujours de rigueur. Les plans doivent contenir les passages et le parcours des canalisations, les percements à effectuer et la localisation. Quant au devis, il doit mentionner la pression des distributions d'eau ainsi que leur nature, les mesures contre le gel, les situations des robinets d'arrêts, les locaux de compteurs ainsi que d'autres points.
Les tuyauteries
Il existe plusieurs matériaux utilisés pour les tuyaux. Cependant, certains d'entre eux, comme l'acier noir et le plomb sont interdits dans l'acheminement des eaux. Avant les années 1970, les matériaux utilisés étaient l'acier noir, l'inox, la fonte, l'acier galvanisé, le caoutchouc, le cuivre et le laiton. Mais depuis, ils ont été substitués par les matériaux en plastique comme les PVC et les PER. Plus récemment, des matériaux hybrides, en aluminium recouvert de polyéthylène ou de téflon, sont apparus. L'utilisation de ces matériaux dépend de la nature de l'eau à acheminer, eau chaude ou eau froide, mais également de leurs emplacements.
Les équipements sanitaires
Les équipements sanitaires sont aujourd'hui, pour la plupart, en céramique. Mais il existe également des appareils en tôle, en acier émaillé, en fonte, en inox, en acrylique ou en porcelaine. Comme les autres équipements, ces produits doivent également être conformes aux normes. Ils doivent porter la mention NF pour l'attester. Cela signifie que ces appareils sont garantis en terme de matériaux de fabrication, de solidité, de forme, d'efficacité et d'hygiène.
Le métier lié à la plomberie nécessite une compétence ainsi qu'une habileté particulière qui ne sont pas forcément des atouts d'un diplômé en la matière. Le candidat idéal ne sera donc pas celui qui a uniquement en poche un CAP/BEP en plomberie, installation sanitaire et thermique, mais celui qui détient de solides expériences dans le domaine.
Les formations requises pour exercer dans le domaine de la plomberie
L'on constate aujourd'hui que les candidats ayant suivi des études spécialisées dans le domaine de la plomberie sont les plus demandés malgré le fait que ce domaine requiert des qualités particulières en dehors des diplômes. Pour être plombier, le mieux c'est d'avoir suivi une formation de deux ans après la classe de troisième pour obtenir un CAP installateur sanitaire. Pour les plus motivés, ils peuvent continuer à suivre une formation MC pour avoir une double compétence. Les bacheliers, eux, peuvent s'orienter vers ce domaine en préparant leur BTS Fluides, énergies, environnements option A génie sanitaire et thermique sur une durée de deux ans.
Les missions incombant au plombier
Bien comprendre et maîtriser ce que l'on attend d'un plombier séduira recruteur et client. Le plombier s'occupe des équipements sanitaires et de chauffage, de la préparation jusqu'à leur installation définitive. Le plombier sera appelé également, s'il a les compétences nécessaires, pour assurer entre autres l'installation des piscines ou des panneaux solaires . Par ailleurs, il peut être sollicité pour diverses tâches classiques comme la réparation d'une fuite d'eau ou de gaz, pour un souci de canalisation ou pour le détartrage de la tuyauterie.
Le marché du travail de la plomberie
En général, les candidats postulant pour la profession de plombier n'ont pas trop de difficultés à trouver un emploi lié à leurs formations et aptitude. En effet, le recrutement annuel de plombiers en France monte à 7 000 plombiers. Par ailleurs, entreprise et particuliers ont besoin un jour ou l'autre de faire réviser leur système de chauffage ou tout simplement leur robinetterie. Ajoutée à cela, la recrudescence des nouvelles constructions. Le métier n'est donc pas encore saturé et la recherche de personnel qualifié reste toujours en hausse.
Indépendants ou salariés?
Selon les professionnels du secteur, un plombier gagne plus à être indépendant plutôt que de travailler pour le compte d'une société. En effet, grâce aux préoccupations écologiques, le secteur ne va cesser de progresser puisque tous les usagers essaieront de trouver des solutions adaptées entre consommation et respect de la nature, notamment pour le cas de l'eau. Les plombiers salariés, par contre, peuvent souffrir de la crise et être victimes de licenciement ou de chômage.
TVA à taux réduit sur la plomberie
Lorsque vous effectuer des travaux concernant la plomberie, vous pouvez éventuellement bénéficier d’un taux de TVA réduit à 5.5% au lieu de 19.6%. ( article 279-0 bis du code général des Impôts, loi 99-1172 du 30 Décembre 1999 ). Pour cela, il est nécessaire de remplir plusieurs conditions :
- vos travaux de plomberie doivent impérativement concerner un lieu d’habitation que vous soyez propriétaire, locataire ou occupant à titre gratuit et ce, pour une habitation principale, secondaire, en maison individuelle ou logement collectif. Les travaux bénéficiant du taux réduit s’appliquent également aux dépendances ( cave, grenier, balcon, garage… ) mais aussi aux parties communes d’un immeuble collectif ( cage d’escalier,…)
- Votre habitation doit exister depuis plus de deux ans ( vous devrez impérativement apporter la preuve à votre prestataire que la date d’achèvement de la construction de votre habitation est antérieure de deux ans au commencement des travaux que vous souhaitez faire). En revanche, dans le cas d’une fuite ou tous autres travaux de plomberie nécessitant une intervention urgente, ce point n’est plus obligatoire et vous pouvez, dans ce cas uniquement, bénéficier du taux de TVA réduit, même pour un logement construit depuis moins de deux ans.
- Les travaux et les fournitures doivent obligatoirement être facturés par un prestataire agréé.
- Les travaux en plomberie concerné par cette réduction du taux de TVA sont nécessairement soit des travaux de rénovation ou de transformation ( mise aux normes de votre installation plomberie ) soit des travaux d’entretien.
- La réduction du taux de TVA s’applique aux matières premières et fournitures ( tuyaux…), aux éléments d’équipements ( sanitaires, appareils de chauffage…), à la main d’œuvre. Un impératif : ces travaux ne doivent en aucun cas remettre à neuf plus des 2/3 des installations sanitaires et de plomberies ou les systèmes de chauffage. Ces travaux doivent également être considérés sur 2 ans et ne pas rendre à l’état neuf plus des 2/3 de ces éléments sur toute cette période. ( décret 2006-1002 du 10 Août 2006
- Enfin, il est nécessaire de remplir une attestation pour ces travaux. Ces attestations sont disponibles sur le site de l’administration fiscale www.impot.gouv.fr et doivent être remplies par vous. Elles doivent être fournies au prestataire au plus tard avant la facturation. Ces déclarations vous engagent : si vous êtes contrôlé et perçu comme fraudeur, vous devrez payer la différence entre le prix réglé au taux de 5.5 et celui normalement dû au taux de 19.6. Ces attestations doivent être gardées jusqu’au 31 Décembre de la cinquième année suivant les travaux. A tout moment, l’administration fiscale peut vous demander de présenter les preuves de travaux bénéficiant d’un taux réduit. Deux attestions sont disponibles en fonction des travaux réalisés : gros œuvres ou second œuvre. Les travaux de plomberie sont concernés par l’attestation simplifiée ( travaux de second œuvre ).
Cette mesure permet une économie substantielle sur les gros travaux. Elle a été votée pour développer le travail des artisans mais également concourir ) à un meilleur bien-être des personnes. Quoi de plus agréable, en effet, que de vivre dans un endroit sain, parfaitement isolé, entretenu, sécurisé, rénové, voire transformé… En vous renseignant plus amplement, vous découvrirez que cette mesure s’applique bien au-delà de la plomberie : électricité, rénovation de locaux, isolation thermique, phonique, aménagement de combles, entretien de toiture, ravalement de façade. L’important étant de justifier d’un maintient d’un bon usage des locaux d’habitation. A ce titre, refaire les peintures, les moquettes, les papiers peints… entrent dans cette mesure.
A savoir : cette réduction du taux de TVA en plomberie peut se cumuler avec le crédit d’impôt pour travaux. Une autre mesure incitant à l’embellissement de nos habitations grâce à nos artisans.
Faire appel à un plombier est une opération que la plupart des ménages ont dû effectuer pour faire réparer un lavabo récalcitrant ou encore raccorder une canalisation défaillante. L'opération, pourtant simple, peut prendre des allures de parcours du combattant si l'on n'y apporte pas suffisamment d'attention.
Tenter de réparer soi-même sa plomberie
Cette démarche est la première à expérimenter si l'on possède suffisamment de dextérité et une certaine compétence en la matière. Elle passe par un examen minutieux du réseau de canalisations pour déceler la source du problème. Le principe qu'il faut maîtriser dans le domaine de la plomberie est la distinction entre les deux systèmes qui composent le réseau de canalisations d'eau. Le premier système sert à approvisionner notamment les douches, la cuisine et les autres pièces. Le second système est celui qui sert à évacuer l'eau usée. De cette manière, l'on peut aisément savoir si les connaissances que l'on possède en matière de plomberie sont suffisantes pour éviter de faire appel à un professionnel. Le remplacement du joint d'un robinet ou encore la chasse d'eau sont des opérations relativement aisées à entreprendre en comparaison du colmatage d'un tuyau d'évacuation d'eaux usées. De ce fait, il est possible dans le premier cas de suivre les indications de remplacement indiquées sur le conditionnement des pièces de rechange. Dans le second cas, il est impératif de faire appel à un plombier professionnel.
Trouver le problème avant de faire appel à un plombier professionnel
Lorsqu'un problème survient au niveau de la plomberie, le réflexe est souvent d'appeler directement un spécialiste en la matière. Il convient toutefois d'éviter de tomber dans cet automatisme. Ceci, pour éviter de se faire arnaquer pour d’éventuels travaux qui n'ont pas lieu d'être et juste entrepris pour gonfler la facture finale. Il faut au contraire essayer de trouver l'origine ainsi que la nature du problème pour pouvoir discuter sereinement ensuite avec le plombier. Pour ce faire, la localisation précise de la fuite doit être trouvée. Les robinets doivent être tournés à fond pour voir si la fuite se résorbe. Si tel n'est pas le cas, un changement total de celui-ci est envisageable. Autrement, il suffit de changer les membranes. Dans le cas d'une fuite d'eaux usées, il est de bon ton d'essayer de suivre la trace de celle-ci pour déterminer le point de sortie.
Établir un comparatif des prix pratiqués avant de choisir un plombier
Les prix pratiqués par les professionnels peuvent varier considérablement d'un plombier à l'autre. C'est pourquoi il est conseillé d'effectuer au préalable une comparaison des taux horaires qu'ils appliquent. Certains plombiers calculent ce taux en y incluant le temps qu'ils ont mis pour se déplacer jusqu'au domicile du client. Pour cette raison, il faut apporter un soin particulier à choisir le meilleur taux qui correspond à un bon rapport qualité du travail exécuté sur le prix. Il faut savoir qu'au-delà de ce taux horaire, il importe de choisir un prestataire en la matière qui bénéficie d'une réputation de sérieux. L'on peut y arriver par le système de bouche-à-oreilles ou en consultant les forums.
Les devis peuvent être gratuits ou payants, tout dépend du plombier. Quoiqu’il en soit, si un plombier vous propose un devis gratuit, vérifiez bien que ce n’est pas seulement si vous le choisissez pour l’intervention et que son prix ne viendra pas s’imputer sur la facture.
Pour un devis, le plombier doit se déplacer chez vous et vous donner une estimation du coût des réparations ou de l’installation.
Les prix des prestations n’étant pas fixés, n’hésitez pas à demander des devis à plusieurs plombiers.
Sachez que le devis est obligatoire au-delà de 150 €, sauf en cas d’intervention en urgence (arrêté du 02 Mars 1990 relatif à la publicité des prix et prestations de dépannage, de réparations et d’entretien dans le secteur du bâtiment et de l’électroménager).
Selon la loi sur la publicité des prix, le plombier doit impérativement vous faire connaître ses tarifs à l’avance et par écrit.
Le plombier doit également répondre à un cahier des charges strict, fixé en fonction de vos besoins et qu’il doit vous communiquer par écrit sur un document mentionnant :
- le taux horaire de la main-d’œuvre TTC
- les modalités de décompte du temps passé
- les tarifs TTC des prestations proposées
- les frais de déplacement
- le coût du devis s’il est payant
- les conditions de règlement
Les devis en ligne :
Aujourd’hui, de plus en plus de plombiers vous proposent d’établir des devis en ligne via leurs sites internet. Que ce soit pour un devis d’installation, de rénovation ou de dépannage, vous pouvez remplir un formulaire qui va permettre au plombier d’estimer le coût des travaux et de vous donner un prix approximatif sans avoir à se déplacer.
La plomberie chauffage est une branche de la plomberie qui traite tout ce qui touche au domaine du chauffage, de la ventilation et de la climatisation. Comme les autres spécialités de la plomberie, c'est un métier qui requiert beaucoup de qualités comme avoir une bonne condition physique et des connaissances suffisantes.
Domaines de compétence
La plomberie chauffage est une spécialisation dans le métier de plombier qui touche le domaine du chauffage, de la ventilation et de la climatisation. Le plombier chauffagiste assure l'installation des systèmes de climatisation, de chauffage que ce soit la chaudière individuelle ou collective ainsi que du chauffe-eau. En dehors de sa spécialisation, le plombier chauffagiste peut également intervenir dans le domaine de la plomberie en général. Il peut s'occuper de différentes sortes d'installations comme les sanitaires, les appareils thermiques ou frigorifiques. Il est également apte à assurer l'installation des systèmes de protection incendie ou de traitement de l'eau. Par ailleurs, tout ce qui est tuyauterie ne lui est pas inconnu, qu'il s'agisse des tuyaux de gaz ou d'eau. Il peut être amené à réparer les défaillances diagnostiquées à ce niveau.
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Qualités requises
Au même titre qu'un plombier généraliste, le métier de plombier chauffagiste requiert une bonne condition physique et des qualités spécifiques. L'intervenant est susceptible de porter régulièrement de lourdes charges nécessitant ainsi une grande résistance physique. Il se doit également d'avoir le sens de la précision et une habileté manuelle irréprochable pour réussir les différentes installations. Le plombier chauffagiste doit en outre être bien organisé. Il ne doit pas présenter une quelconque déficience au niveau de la vision et de l'odorat parce qu'il sera amené à détecter une fuite de gaz ou à distinguer les codes dans les installations électriques. Exercer ce métier demande par ailleurs une facilité d'adaptation pour travailler en solo ou en équipe. Le plombier chauffagiste est sujet à de nombreux déplacements. Il doit avoir sa propre méthode de travail et posséder un sens de l'analyse développé et beaucoup de rigueur.
L'essentiel pour devenir plombier chauffagiste
Le plombier chauffagiste doit avoir un minimum de connaissances en tant que climaticien. Contrairement à un plombier généraliste, ce métier requiert une connaissance approfondie des énergies renouvelables comme les schémas de la géothermie. Il doit également maîtriser les techniques de soudure et savoir lire les schémas. Le plombier chauffagiste doit posséder une connaissance en électromécanique afin de différencier l'électricité de haute ou de basse tension. Il doit par ailleurs maîtriser les techniques du commerce et avoir un sens de la relation humaine vu qu'il sera tout le temps en contact avec ses clients. Ce métier demande aussi une certaine expérience dans la tuyauterie et l'étanchéité que ce soit au niveau de l'installation ou des plans. Le plombier chauffagiste doit également maîtriser les normes de sécurité en vigueur et veiller à leur respect.
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Conditions de travail
Le plombier chauffagiste intervient aussi bien dans les constructions neuves que dans les logements en rénovation. Il peut aussi proposer ses prestations aux entreprises ou à l'État. Les locaux commerciaux, les bureaux et les édifices publics peuvent devenir ses chantiers. Il travaille pour son propre compte ou en équipe avec d'autres professionnels du bâtiment. Dans la plupart des cas, le plombier chauffagiste est employé par des entreprises spécialisées ou généralistes. Certaines entreprises de distribution d'eau, de gaz, des collectivités locales et des bureaux d'études font également appel à ses services.
Lorsqu'une fuite d'eau arrive, le premier réflexe est de faire appel à un plombier. La question se pose alors de choisir entre solliciter un plombier artisan ou un professionnel salarié dans une entreprise.
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Les avantages qu’apporte un plombier artisan
Le plombier artisan travaille pour son propre compte. L'intervention sera effectuée par sa propre personne. L'on peut de prime abord avoir une certaine assurance quant à son niveau d'expertise. Le plombier artisan doit en effet posséder un niveau de connaissances minimum pour pouvoir accéder à ce statut. Il est possible de vérifier son statut et son sérieux auprès de la chambre des métiers, puisque tous les artisans doivent y être inscrits.
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Choisir un plombier salarié
Le plombier salarié est un professionnel qui travaille pour le compte d'une entreprise. Il facture le plus souvent selon un taux horaire. Il doit posséder au minimum un CAP pour pouvoir exercer ce métier. Choisir un plombier salarié permet de se retourner contre l'entreprise qui l'emploie dans le cas d'une procédure de contentieux. De plus, le salarié n'a pas le droit de modifier le devis qui a été proposé par l'entreprise.
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Les éléments pouvant aider au choix
Il faut tenir compte avant tout du niveau d'expérience du plombier qui effectuera l'intervention. Par ailleurs, l'élément indispensable qu'il ne faudra pas éluder est celui de l'établissement du devis. Il peut considérablement être différent d'un plombier à un autre. Le choix du devis le moins coûteux peut paraître le plus probant, mais il n'en est rien. Il faudra tenir compte de l'importance du rapport travaux exécutés/ prix. En outre, artisan ou salarié, un plombier sérieux montrera à son client un point que ce dernier ne maîtrise pas toujours. En effet, le taux de la TVA facturé au client et qui s'applique sur les travaux réalisés est différent selon que ceux-ci soient du neuf ou des réhabilitations.